Dominant·e·s, que se passerait-il si vous ne pouviez plus bouger ? Et que se passerait-il si, en même temps, pour soumettre votre partenaire, vous deviez vous en remettre à son bon vouloir ?
Vous utiliseriez votre voix, n’est-ce pas, votre voix pour qu’iel se dévoile, se dévoie et se dévoue.
Ou, si vous étiez celui ou celle qui obéit, que se passerait-il si votre partenaire vous ordonnait cette chose singulière qui consisterait à être en charge de vos deux plaisirs ? Comment s’assurer de bien faire le geste de l’Autre ? Y met-on la même intention lorsqu’on y est soi-disant obligé·e ?
Dans cet atelier, c’est tout cela que l’on vous propose de découvrir. Comment, lorsque l’on domine, ordonner tout en se laissant faire, dans un total lâcher-prise physique. Et, dans le rôle inverse, comment se soumettre à une voix, et un regard, alors que rien ne nous y oblige si ce n’est le désir troublant d’être au sert-vice de notre complice.
Quant à la suite pour qui le souhaite : pourquoi s’arrêter à deux pour faire la fête ?