– – – Tes seins – – –
Je ne sais pas si je t’ai dit assez combien j’aime regarder tes seins lorsque tu dors.
J’en ai fait des textes, et j’en ferai sûrement d’autres tellement j’aime les toucher, les embrasser, les choper, les malmener, les polluer … puis, le lendemain de nos nuits d’amour, les deviner sous tes vêtements, en repensant, comme en ce moment, à ce que je leur ai fait juste quelques heures auparavant.
Mais ce que j’aime plus que tout, c’est lorsque dans le jour naissant je les regarde, lorsque je m’imagine les recouvrir de ma main, bientôt, tout à l’heure …
… et que je bande, déjà …